Notre précepte est :

Notre précepte : "Tout groupe humain prend sa richesse dans la communication, l'entraide et la solidarité visant à un but commun : l'épanouissement de chacun dans le respect des différences." (Françoise Dolto)

AVERTISSEMET

AVERTISSEMENT // MISE EN GARDE : Il faut bien avoir à l'esprit ceci : la « maladie de Forestier » est une pathologie très atypique et très asymptomatique, et que les articles publiés dans ce Blog font références à des cas extrêmes pour la plupart. Ainsi seulement 10% à 15% des sujets touchés sont susceptibles de présenter des symptômes sévères. La découverte de cette « maladie » est fréquemment fortuite. C'est souvent lors d'un examen radiologique, qui n'a souvent rien à voir avec l'indication du bilan RX, que le diagnostic de « Forestier » est posé.

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mercredi 26 juin 2013

GEREZ VOTRE ENERGIE POUR MIEUX CONTROLER VOTRE DOULEUR


LA DOULEUR, JE M’EN OCCUPE !


Pourquoi suis-je toujours fatigué(e) même si je fais peu d’activités ?
Lorsque la douleur est présente depuis un certain temps, il n’est pas rare que les gens en viennent à réduire leurs activités de tous les jours. Cette inaction a pour effet d’augmenter la sensation de fatigue, qui entraîne à son tour une diminution du nombre d’activités réalisées quotidiennement. Et vous voilà pris(e) dans un cercle sans fin, car en réduisant votre niveau d’activité, vos capa- cités diminuent elles aussi. Votre force musculaire, votre endurance, votre concentration et votre mémoire s’en ressentent. Puis, face à la diminution de vos capacités et au sentiment de ne plus être capable d’accomplir vos activités habituelles, il peut vous arriver d’éprouver de la frustration, de l’anxiété ou encore, une perte d’intérêt pour des activités qui vous plaisaient auparavant. À plus long terme, vous pourriez connaître des symptômes dépressifs. À leur tour, ces sentiments négatifs accentuent l’isolement et le sentiment de fatigue. C’est ainsi que vous vous trou- vez pris dans l’engrenage du cycle de la fatigue...


Frustration, Anxiété, Diminution des  capacités, Diminution des activités----FATIGUE ---Sentiment d'insatisfaction / perte de sens : ISOLEMENT / SENTIMENTS DÉPRESSIFS


Lorsque vous êtes déprimé(e) et inactif(ve), la douleur que vous ressentez risque d’être plus élevée. Une meilleure gestion des énergies et une reprise graduelle des activités sont des facteurs clés du contrôle de la douleur et de l’amélioration de la qualité de vie.
Comment briser le cycle de la fatigue ?

Reprise graduelle des activités---Bien-être psychologique---Sentiment de contrôle--- Amélioration des capacités PARTICIPACTION SOCIALE


Il y a deux façons de réagir devant le cycle de la fa- tigue : laisser la fatigue vous entraîner ou y mettre un frein en concentrant vos énergies vers un cycle positif.
Si vous choisissez de reprendre graduellement vos activi- tés, tout en respectant les principes de gestion des éner- gies, vos capacités s’amélioreront progressivement au fil du temps. Vous gagnerez ainsi un plus grand sentiment de contrôle face à votre condition, vous vous sentirez mieux et vous pourrez accomplir plus de tâches ou pra- tiquer plus d’activités tout en respectant vos capacités.
Se réactiver, c’est redonner un sens à sa vie, se sentir mieux psychologiquement et avoir un meilleur contact avec ses proches.

Comment gérer votre niveau d’énergie
On peut facilement comparer son niveau d’énergie à un compte de banque: il y a des entrées et des sorties. Celui-ci doit être géré de façon consciente et efficace en fonction de ses besoins. À la suite d’une dépense d’énergie, il est essentiel de planifier une entrée d’éner- gie pour maintenir cet équilibre énergétique qui vous permet d’accomplir vos activités au quotidien. Évitez de vider complètement votre «réservoir» ou de vous rendre à l’épuisement, car à ce point, la récupération sera plus longue et pénible et vous mettrez plus de temps avant de retrouver un équilibre énergétique. Chaque personne possède une quantité d’énergie disponible et il est im- portant de bien la connaître afin de savoir combien vous pouvez en dépenser.
Principes de base de la gestion du niveau d’énergie
Établissez vos priorités: rédigez une liste des activités à accomplir et choisissez les objectifs à réaliser. Révi- sez vos exigences en respectant vos nouvelles limites et capacités. (Par exemple, acceptez que le plancher ne soit pas impeccable et passez le balai dans la cuisine deux fois par semaine plutôt que tous les jours.) Un truc pour augmenter vos chances d’atteindre vos objec- tifs : assurez-vous qu’ils sont précis, mesurables, acces- sibles, réalistes et bien définis dans le temps. Voici deux exemples d’un but, le premier mesurable, accessible et réaliste et le second, vague et imprécis: 1) «aller mar- cher 10 minutes, mardi, au parc à côté de chez nous », 2) «aller marcher cette semaine».
Simplifiez certaines activités: demandez-vous s’il y a d’autres manières d’effectuer vos activités pour qu’elles soient plus faciles et éliminez ce qui n’est pas essentiel. Par exemple, faire livrer l’épicerie ou laisser sécher la vaisselle sur le comptoir.
Utilisez l’équipement approprié pour diminuer l’exigence de la tâche. Voici quelques exemples d’instruments qui vous faciliteront le travail:
- Un chariot à six roulettes pour transporter vos paquets.
- Un aspirateur sans chariot, léger et muni d’un manche flexible.
- Une vadrouille avec lingette pour ne pas avoir besoin d’un seau d’eau.
- Une brosse à récurer à long manche pour laver la baignoire.

Réorganisez votre espace de travail afin d’éviter les gestes inutiles et rendre vos mouvements plus efficaces. Par exemple, évitez d’empiler les unes par-dessus les autres les casseroles dont vous vous servez régulièrement et rangez-les dans un endroit d’où vous pouvez les retirer sans trop d’efforts.

Déléguez ou partagez les tâches. Expliquez à vos proches quelles sont vos capacités et limites actuelles, vos attentes, vos besoins et comment ils peuvent vous aider. Par exemple, suggérez un partage des tâches ménagères avec votre conjoint(e) ou la préparation des repas en famille. Acceptez vos limites ainsi que le fait de ne plus pouvoir «tout faire» comme avant.
Planifiez vos activités dans un agenda. Équilibrez votre emploi du temps, et ce, aussi bien du point de vue de vos journées que de la semaine. Alternez le niveau d’effort entre les activités demandant peu d’énergie et celles qui en nécessitent beaucoup. Répartissez les tâ- ches exigeantes et prévoyez des activités récupératri- ces d’énergie (micro-pauses, pauses). Gardez du temps pour les imprévus et les loisirs! Enfin, réservez suffisam- ment de temps pour réaliser vos activités à un rythme agréable; cela vous évitera de vous sentir pressé(e).

Micro-pauses durant une activité
- Étirer un groupe de muscles.
- Changer de position.
- Prendre quelques respirations profondes.
- Se lever et faire une courte marche (par exemple :

boire un verre d’eau, aller à la salle de bains).
Pauses
- S’offrir une séance de relaxation : respiration, imagerie mentale.
- Prendre un bain chaud.
- Lire un livre ou une revue.
- Faire une sieste de 15 à 20 minutes
.
Réévaluez votre horaire: réévaluez ce que vous aviez prévu faire en fonction de votre condition actuelle (ni- veau d’énergie, intensité de douleur, imprévus, etc.). Soyez attentif(ve) aux différentes manifestations de la fatigue lors d’une activité (par exemple : difficulté à se concentrer, inconfort physique, irritabilité).
Prenez conscience de la posture adoptée et des mou- vements que vous faites lors d’une activité en position assise, debout et couchée. Respectez toujours vos limites physiques lorsque vous bougez ou prenez une position. Par exemple, lorsque vous soulevez un objet, assurez-vous de :
-  Répartir les charges (par exemple : distribuer les achats dans deux sacs au lieu d’un). 
-  Positionner vos pieds selon la largeur de vos épaules. 
-  Garder votre dos droit et fléchir les genoux lorsque vous vous penchez. 
-  Porter les objets près du corps. 
-  Prendre des pauses. 
-  Demander de l’aide pour soulever les objets lourds. 
Apprendre à gérer ses énergies demande du temps et quelques « essais et erreurs », mais vous serez heureux(se) de constater qu’une bonne gestion des énergies faci- lite la reprise des activités et un meilleur contrôle de la douleur. Plusieurs professionnels de la santé (ergothérapeute, physiothérapeute, psychologue, kinésiologue, etc.) peuvent vous aider dans ce processus. N’hésitez pas à leur demander conseil ! 

Ce dépliant a été préparé par l’Équipe du Programme ACCORD - Regroupement des forces pour gérer la douleur chronique.
Pour plus d’informations sur la douleur chronique, consultez le site: www.douleurchronique.org ou communiquez avec l’Association québécoise de la douleur chronique (AQDC)

LA DOULEUR CHRONIQUE ( quelques généralités pour aider )

LA DOULEUR, JE M’EN OCCUPE !
LA DOULEUR CHRONIQUE: LA RECONNAÎTRE ET LA TRAITER
Normalement, la douleur est un signal d’alarme qui protège le corps contre un danger possible. Par contre, lorsqu’on souffre de douleur chronique, le «système d’alarme» est en quelque sorte déréglé et le corps envoie un signal sans qu’il y ait un danger réel. La douleur chronique n’a donc pas de fonction puisqu’elle ne joue pas vraiment un rôle de protection.
La douleur est une perception; elle est propre à chacun et elle est réelle. Elle est influencée par qui nous sommes, comment nous nous sentons au moment présent, et par notre façon de vivre et de penser.
Qu’est-ce que la douleur chronique?
La douleur chronique est une maladie qui peut survenir à la suite d’une blessure physique, d’une chirurgie ou encore sans raison apparente. La douleur peut également être une conséquence d’une maladie, comme l’arthrite, la migraine, la sclérose en plaques, la fibromyalgie ou encore les problèmes à la colonne vertébrale.
La douleur chronique est un problème de santé fréquent. On estime qu’environ 20 % de la population en souffre.
On définit la douleur chronique comme une douleur qui persiste pendant plus de trois mois ou au-delà d’une période normale de guérison. La douleur peut être présente en tout temps, ou seulement à certaines périodes. Elle peut être plus forte ou plus faible, selon le moment de la journée.
La douleur chronique est encore, à tort, l’objet de plusieurs mythes et préjugés. Pourtant, l’invalidité qu’elle peut entraîner est déstabilisante et souvent difficile à gérer.
Quel est l’impact de la douleur chronique?
La douleur chronique peut avoir un impact sur tous les domaines de la vie de la personne qui en souffre: la vie de couple, la vie familiale, la vie professionnelle, la vie sociale, les sports et les loisirs. De plus, la douleur chronique peut provoquer de la peur, du découragement, de la colère, du doute, un sentiment d’injustice et un sentiment d’abandon.

Quels traitements sont efficaces?
Le traitement de la douleur chronique vise son soulagement et l’amélioration de la qualité de vie de la personne qui en souffre. Les traitements peuvent varier d’une personne à l’autre.
Plusieurs médicaments, de même que certaines interventions, comme des injections, peuvent contribuer à soulager la douleur. Votre médecin peut vous conseiller à ce sujet.
Il est aussi très important de pratiquer une activité physique contrôlée, ce que la physiothérapie et l’ergothérapie peuvent vous aider à faire.
Par ailleurs, l’application de chaleur ou de froid peut soulager la douleur, de même que l’application de certaines crèmes.
Quoi faire si je souffre d’une douleur chronique?
Sachez qu’il n’est pas normal d’éprouver une douleur persistante. Si c’est votre cas, consultez votre médecin.
Si vous constatez que vous êtes plus irritable, fâché(e), déprimé(e) ou si vous vivez de l’anxiété, agissez sans tarder! Consulter un spécialiste, comme un psychologue, ou encore lire des livres sur le sujet pourra vous aider.
Assurez-vous de maintenir de bonnes habitudes de vie, comme un sommeil régulier et réparateur, une alimentation saine et équilibrée, de l’exercice physique tous les jours, et une consommation d’alcool modérée.
On estime qu’environ 20% de la population souffre de douleur chronique.
Rappelez-vous qu’il est possible de soulager et de gérer la douleur chronique.
Différentes techniques psychologiques peuvent aider à s’adapter à la douleur et favoriser une meilleure gestion de celle-ci. Les techniques psychologiques permettent également de mieux gérer les émotions, comme la peur ou la déprime, très souvent associées à la douleur chronique.
Les différentes techniques de relaxation permettent de rééquilibrer le corps et l’esprit. Elles sont efficaces pour diminuer les tensions physiques et psychologiques accumulées, ainsi que la douleur.

Plus vous agissez rapidement, meilleures sont vos chances d’aller mieux!
Ce dépliant a été préparé par l’Équipe du Programme ACCORD - Regroupement des forces pour gérer la douleur chronique.
Pour plus d’informations sur la douleur chronique, consultez le site: www.douleurchronique.org ou communiquez avec l’Association québécoise de la douleur chronique (AQDC) 

mardi 18 juin 2013

Pathogénie des hyperostoses : rôle clé des cellules mésenchymateuses ? Jean-Marie Berthelot, Benoît Le Goff, Yves Maugars

Résumé

La ressemblance entre les diffuse interskeletal hyperostosis (DISH) et certaines spondylarthrites ankylosantes suggère des points communs dans la pathogénie des deux entités. La vitesse de progression des ossifications des enthèses est d’ailleurs la même dans les deux cas et des diagnostics de spondyloarthrite ont été évoqués à tort dans plusieurs familles avec transmission génétique de DISH à début précoce. Les DISH semblent toutefois des entités hétérogènes, car dans certaines familles, des calcifications périphériques ont aussi été remarquées : la pathogénie de ces cas pourrait se rapprocher de celle de plusieurs modèles animaux où co-existent aussi enthésopathies ossifiantes et calcifications périphériques, ainsi que de celles des hypophosphatémies familiales liée à l’X ou à des mutations de la dentin matrix protein (DMP). Dans les bien plus fréquentes hyperostoses sans calcifications, l’ossification des enthèses pourrait être liée à la différentiation ostéoblastique anormale de cellules souches mésenchymateuses physiologiquement présentes à la périphérie des disques, dans le périoste vertébral et les ligaments pré- et rétrovertébraux. Parmi les nombreux facteurs suspectés de favoriser cette différentiation, outre les BMP, les rétinoïdes et divers facteurs hormonaux, les adipokines, dont la leptine, sont l’objet d’un intérêt croissant, eu égard à l’association bien démontrée entre DISH et excès pondéral. La confirmation du rôle de cellules mésenchymateuses dans les DISH devrait inciter à étudier aussi l’implication de ces cellules mésenchymateuses dans la pathogénie des enthésites des spondyloarthrites. Elles jouent normalement un rôle immunosuppresseur, lequel pourrait être subverti lors des spondyloarthrites, en particulier par une sous-population de lymphocytes T ayant un homing spécifique pour les enthèses. 

Une description de plus du syndrome de DISH

Signes avant-coureurs et les symptômes
Les signes et symptômes du syndrome Dish varient suivant la partie du corps qui est touchée . Le haut du dos ( rachis thoracique ) est généralement l'endroit le plus commun qui devient touché. Les autres symptômes peuvent inclure:
Raideur qui est généralement noté dans la matinée.
La douleur que l'on ressent quand quelqu'un appuyez vers le bas sur la zone touchée.  Tout le monde n' aura la douleur
Une douleur vive quand vous vous  plier ou en  torsion du dos.
Difficulté à avaler , voix rauque ou question cou déplacement.
Un type sentiment tendinite à l'épaule, du coude, du genou ou de la cheville.
Perte des  amplitudes de mouvement .
Douleur sporadique dans le dos surtout avec raideur.
Même si les symptômes de DISH ont été documentés dans la littérature médicale depuis au moins cent ans, cette maladie vient d'être reconnue comme un trouble distinct depuis 1997. Beaucoup de professionnels de la santé ne sont toujours pas informés de ce trouble par conséquent, il est souvent mal diagnostiqué. Il est également très possible que de nombreux patients qui endurent des douleurs dorsales pourraient effectivement avoir le syndrome de DISH. La maladie peut être confirmée par des radiographies de la colonne vertébrale .
Si vous avez une douleur permanente dans le dos ou une raideur dans n'importe quelle articulation dans le dos voyez avec votre professionnel de la santé.
La cause du syndrome de DISH
La cause du syndrome est encore indéterminée. Certains praticiens ont tiré des conclusions quant à ce que certaines des causes peuvent-être pour cette condition. Ce sont les facteurs de risques actuels:
Les gens qui ont été en surpoids depuis l'enfance peuvent avoir un risque plus élevé de développer la maladie.
L'utilisation à long terme de certains médicaments appelés rétinoïdes comme Accutane parmi d'autres qui sont comme la vitamine A peuvent augmenter le risque de DISH. C'est pas encore exactement connu comment la grande quantité de vitamine A semble provoquer la maladie.
Votre sexe est un autre facteur. Être de sexe masculin est plus à risques.
Les personnes âgées sont plus à risques pour cette maladie surtout dans l'âge de 50 ans et plus.
Les gens qui ont le diabète de type 2 ont un risque plus élevé par rapport à ceux qui n'en ont pas.
Les conditions dans lesquelles peuvent augmenter votre niveau d'insuline dans le corps peuvent aussi vous mettre à un risque plus élevé. Cela inclut l'obésité, le prédiabète et l'hyperinsulinémie.
Les complications survenant à partir de DISH
Les gens qui ont plat peut être à risque d'autres complications dues à la maladie qui comprennent:
Handicap: Perte des amplitudes de mouvement dans l'articulation touchée, il est extrêmement difficile de se déplacer de la zone touchée. Exemple si elle est dans votre épaule, il est difficile de bouger l'épaule et crée la douleur lorsque vous utilisez votre bras.
Du mal à avaler: éperons osseux qui sont liés au DISH qui sont dans le cou (rachis cervical) pourraient faire pression sur l'oesophage qui le rend difficile à avaler. La pression exercée par les éperons peut également rendre votre voix rauque ou causer des problèmes respiratoires lorsque vous dormez ( apnée du sommeil ). Dans de très rares cas une intervention chirurgicale sera nécessaire pour enlever les éperons.
Paralysie: DISH qui affecte le ligament qui s'étend jusqu'à l'extérieur de la colonne vertébrale peut exercer une pression sur la moelle épinière. Cette compression de la moelle épinière pourrait finir résultant en une perte de sensation ou la paralysie.
Tests et diagnostics du DISH :
Pour conclure, si vous avez  le DISH votre médecin devra très probablement procéder à un examen physique qui comprend d'abord une légère pression sur la colonne vertébrale et les articulations se sentir d'éventuelles anomalies. Toute la douleur dans laquelle vous pouvez vous sentir pourrait être un aperçu précieux pour un diagnostic. DISH peut causer des douleurs à l'endroit où le tendon ou le ligament touché s'attache à l'os. Le praticien peut être en mesure de trouver des éperons osseux.
Pour plus d'aide dans le diagnostic de votre médecin peut ordonner:
Les radios rayons X pour confirmer le diagnostic. Ils pourraient révéler durcissement long des os qui forment la colonne vertébrale. Ce durcissement a une apparence très distincte dans laquelle certains praticiens appellent une cascade ou qui coule. Fondamentalement, il ressemble à la cire de bougie coule dans le dos.
Parfois, un scanner ou une IRM peuvent être faites afin d'exclure certaines conditions avec des symptômes semblables comme la spondylarthrite.
Comment est-elle traitée?
Même si elle ne peut pas être guérie qu'il ya des choses qui peuvent être faites comme la réduction de la douleur et de la raideur avec l'amélioration de l'amplitude des mouvements.
Les traitements conventionnels
Le traitement conventionnel impose l'utilisation d' AINS de (anti-inflammatoire) les médicaments pour la douleur et l'inflammation comme Advil et Motrin. De plus la douleur peut etre traitée par des injections de corticostéroïdes.Physiothérapie  ceci peut également être recommandé pour la rigidité.
La chirurgie ne se produit que dans de rares cas. Où DISH a produit des complications graves.Tels que les grands éperons osseux dans le cou qui rend extrêmement difficile à avaler. Il peut également être commandé pour enlever la pression sur la colonne vertébrale.
Des Thérapies complémentaires peuvent également utilisées par le praticien pour fournir réduire la douleur et accélérer le processus de guérison naturelle pour donner au patient un rétablissement complet.
La cryothérapie ( thérapie de glace ): Il peut être utilisé pour activer le rétrécissement des vaisseaux sanguins afin de ralentir la circulation dans une zone spécifique.
Thérapie par la chaleur stimule l'élargissement des vaisseaux sanguins pour favoriser l'accroissement du sang à une zone spécifique. Thérapie chaud et le froid se fait habituellement en combinaison. De cette façon, il permet l'activation de l'écoulement de sang par circulation amener à une zone inflammatoire et douloureux avec de la chaleur et l'envoie sur le sang de froid. Quand cela est fait dans le bureau, il est généralement dix minutes chaude puis froide dix et dix chaud encore.
/ Combinaison de thérapie dizaines chaud / froid. Le traitement par le chaud et le froid est utilisé en combinaison avec une stimulation électrique dénommé dizaines. Il double l'efficacité dans la diminution de la douleur. thérapie TENS peut également être utilisé seul pour accélérer la guérison et réduire la douleur.

Trigger Point Therapy: Les points de déclenchement sont les domaines de la tendresse dans les muscles. La pression est appliquée à ces domaines pour soulager la douleur et le dysfonctionnement dans d'autres régions du corps. Parfois, le praticien peut utiliser le massage et le point de déclenchement en combinaison.
Acupuncture
Acupuncture a également été utilisé pour diminuer la tension musculaire pour soulager la douleur. Il a été utilisé surtout quand DISH a touché la région du cou provoquant fatigue musculaire cervicale. De nombreuses études réalisées étaient insuffisantes pour tirer des conclusions à déterminer. Certains patients ont signalé un soulagement significatif de la douleur.
L'exercice régulier
Les personnes atteintes de DISH besoin de rester actif et avoir un exercice régulier. La marche est un bon moyen. Aérobic et de yoga sont également intéressants pour DISH. L' étirement en yoga maintient les joints fonctionnement et des exercices aérobiques peuvent être modifiés pour les capacités du patient et de leur âge. L'objectif est que ces exercices d'étirement qui fournissent non seulement à garder les articulations fonctionnement mais les aides pour réduire l'inflammation.

mercredi 12 juin 2013

L'analyse quantitative de la masse d'ossification antérolatérale dans hyperostose diffuse idiopathique de la colonne thoracique

Résumé

Idiopathique diffuse du squelette hyperostosis (DISH) est une affection systémique conduisant à une ossification des ligaments spinaux et a montré un comportement similaire à la spondylarthrite ankylosante (SA) qui conduit souvent à des fractures instables hyperextension. Actuellement, pas de données quantitatives sont disponibles sur la relation spatiale entre la masse combler antérolatérale d'ossification (ALOM) et le corps vertébral / disque intervertébral pour expliquer la propension à DISH à la fracture dans le corps vertébral lieu de passer par le disque intervertébral comme plus souvent vu dans les AS. En outre, aucune explication raisonnable est disponible pour la morphologie de la cire qui coule typique observé chez DISH. Dans la présente étude, une analyse quantitative de données tomodensitométrie (TDM) à partir d'échantillons prélevés sur des cadavres humains avec DISH a été réalisée afin de mieux comprendre les structures osseuses nouvellement formés et de la biomécanique de la rupture. En outre, les résultats ont été vérifiés en utilisant la tomodensitométrie données angiographie de dix patients avec DISH et dix contrôles. Transversales images de tomodensitométrie ont été analysées pour obtenir coin ALOM et l'angle centre de gravité par rapport à l'axe antéro-postérieur; disque intervertébral et des niveaux crâniens et caudale adjacentes. La zone d'ALOM au niveau du corps à mi-vertébral moyenne 57,9 ± 50,0 mm 2 ; au niveau de l'espace disque intervertébral milieu de cette moyenne 246,4 ± 95,9 mm 2 . La zone d'ALOM moyen au niveau adjacent caudale au niveau de la mi-corps vertébral était 169,6 ± 81,3 mm 2 ; au niveau du crâne adjacente, il était 161,7 ± ​​78,2 mm 2 . La principale conclusion était la différence significative entre la surface moyenne d'ALOM au niveau du corps mi-vertébral et trois autres niveaux ( p  <0,0001). L'étude de vérification ultérieure a montré la présence d'artères segmentaires vertébraux au niveau du corps mi-vertébral dans presque toutes les images indépendamment de la présence de DISH. Une plus grande zone d'ALOM semblait associée à une augmentation rotation antihoraire (loin de l'aorte) du centre de gravité par rapport à l'axe antéro-postérieur. Les résultats de la présente étude suggèrent une prédisposition aux fractures dans le corps vertébral et un rôle pour le système artériel dans l'inhibition de l'ossification des tissus mous.
Mots-clés: idiopathique diffuse du squelette Hyperostose ossification, la formation d'os nouveau, la colonne vertébrale ankylosée, artère segmentaire vertébrale, une fracture Hyperextension

Présentation

Idiopathique diffuse du squelette hyperostosis (DISH) est une affection systémique conduisant à une ossification des ligaments et des enthèses [
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Détruisez le contrôle de l'interface utilisateur ,
Le contrôle de l'interface utilisateur de popper suivant peut ne pas être accessible. Appuyer le bouton à côté de rétablir le contrôle à une version accessible.
Détruisez interface utilisateur contrôle ]. Une caractéristique de DISH est l'ossification qui coule (souvent comparé à l'écoulement de la cire de bougie) des tissus mous antérolatérale sur au moins quatre corps vertébraux contigus, le plus souvent trouvés dans la colonne thoracique [
Le contrôle de l'interface utilisateur de popper suivant peut ne pas être accessible. Appuyer le bouton à côté de rétablir le contrôle à une version accessible.
Détruisez interface utilisateur contrôle ]. Les symptômes cliniques résultant de DISH sont principalement dues à la biomécanique modifiées et peuvent conduire à une gamme réduite de mouvement et une raideur douloureuse des structures affectées [
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Détruisez interface utilisateur contrôle ,
Le contrôle de l'interface utilisateur de popper suivant peut ne pas être accessible. Appuyer le bouton à côté de rétablir le contrôle à une version accessible.
Détruisez interface utilisateur contrôle ]. La compression directe des tissus environnants par la masse osseuse progressivement croissante dans le rachis cervical a conduit à plusieurs cas de dysphagie, obstruction des voies aériennes et des plaintes radiculaires [
Le contrôle de l'interface utilisateur de popper suivant peut ne pas être accessible. Appuyer le bouton à côté de rétablir le contrôle à une version accessible.
Détruisez le contrôle de l'interface utilisateur ]. En outre, des formes avancées de DISH vertébrale ont montré un comportement similaire à la spondylarthrite ankylosante (SA), ce qui augmente les chances de fractures vertébrales instables quatre à huit fois par rapport à la population générale, même après de traumatisme de l'énergie [
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Détruisez le contrôle de l'interface utilisateur ,
Le contrôle de l'interface utilisateur de popper suivant peut ne pas être accessible. Appuyer le bouton à côté de rétablir le contrôle à une version accessible.
Détruisez interface utilisateur contrôle ]. Dans une récente revue systématique de la littérature sur l'évolution clinique des patients atteints de fractures de la colonne vertébrale ankylosée, un pourcentage exceptionnellement élevé de fractures de type hyperextension (74,4% de toutes les fractures au fur et à 51,2% de toutes les fractures dans le plat) a été trouvée, fortement contraste, le pourcentage de 0,2% des fractures hyperextension (type B3, selon la classification AO) trouvé par Magerl et al., dans leur étude pivot de 1,445 fractures de la colonne vertébrale [
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Détruire commande d'interface d'utilisateur ,
Le contrôle de l'interface utilisateur de popper suivant peut ne pas être accessible. Appuyer le bouton à côté de rétablir le contrôle à une version accessible.
Détruisez interface utilisateur contrôle ]. Remarquablement, les plans des fractures subies par des patients avec DISH ont été plus fréquemment situés à travers le corps vertébral à travers le disque (Fig.  1). Comme le lieu de prédilection pour les fractures dans ce qui semble être le contraire, les deux troubles ankylosante peuvent constituer des différentes configurations biomécaniques avec modes distincts d'échec [
Le contrôle de l'interface utilisateur de popper suivant peut ne pas être accessible. Appuyer le bouton à côté de rétablir le contrôle à une version accessible.
Détruisez interface utilisateur contrôle ]. Actuellement, pas de données quantitatives sont disponibles sur la relation spatiale entre le pont de masse osseuse antérolatérale et le corps / disque intervertébral vertébrale DISH pour expliquer le motif de rupture différente par rapport à AS. En outre, aucune explication raisonnable au-delà de la spéculation a été publié pour le développement de la morphologie du type, du côté droit 'écoulement cire de bougie », comme on l'observe dans un plat.
Fig.  1
Reconstruction sagittale d'une tomographie assistée par ordinateur d'un 68-year-old piétonne femelle qui a été frappé par derrière par un véhicule à moteur, ce qui démontre diffuse hyperostose idiopathique aux niveaux T5-T10 et une fracture hyperextension T10...
Les hypothèses de la présente étude ont donc un double objectif:
  1. les caractéristiques spatiales des structures osseuses nouvellement formées dans un plat peuvent être responsables de l'incidence plus élevée de fractures dans le corps vertébral plutôt que par l'espace disque;
  2. la présence du système vasculaire artériel peut fournir une barrière physique pour la formation d'os dans un plat.
Pour répondre à la première hypothèse, l'étendue et la localisation de DISH ont été étudiés par la quantification de la zone transversale et barycentre (centre géométrique) de la masse ossifiée antérolatérale sur les données tomodensitométrie (TDM) obtenus à partir de dix épines thoraciques cadavres humains avec DISH. Pour tester la seconde hypothèse, les résultats obtenus à partir de la première expérience ont été vérifiées par la localisation des artères segmentaires vertébrales (VSA) sur les données angioscanner (CTA) de dix patients avec lave et ensuite par rapport à dix contrôles.

Matériels et méthodes

Enquête sur l'étendue et la localisation de DISH

Un total de 89 embaumés colonne thoracique de cadavres humains, dépouillés de leurs tissus mous environnants, ont été obtenues auprès du Département d'anatomie de notre institution et de dépistage de DISH, par deux observateurs indépendants, par l'inspection macroscopique et la fluoroscopie (OmnidiagnostEleva, Philips Medical Systems, Best, Pays-Bas) en utilisant les critères de Resnick et al.[
Le contrôle de l'interface utilisateur de popper suivant peut ne pas être accessible. Appuyer le bouton à côté de rétablir le contrôle à une version accessible.
Détruisez interface utilisateur contrôle ]. L'absence de l'érosion des sacro-iliaques n'était pas considéré comme une exigence absolue pour cette partie de l'étude, car ces joints ne sont pas disponibles pour le dépistage dans les échantillons obtenus. Un total de dix échantillons (cinq mâles / femelles cinq donateurs, en moyenne 80,4 années vieux, allant de 66 à 91 ans) répondait aux critères et a subi CT à:
  1. établir un diagnostic définitif de DISH (hors AS et d'autres anomalies osseuses) et
  2. effectuer une analyse quantitative des ossifications antérolatérale.
La numérisation a été effectuée en décubitus dorsal avec un scanner 64 coupes (Philips Brilliance; PhilipsMedical Systems, Best, Pays-Bas), à l'aide de 0,625 cm axiaux balayages hélicoïdaux à haute résolution (120 kV, 200 mAs, épaisseur de coupe de 0,9 mm). Sur reconstructions sagittales et coronales, le niveau d'intérêt a été déterminé par l'identification et l'enregistrement des quatre premiers niveaux spinaux contigus reliés par une masse d'ossification antérolatérale (ALOM), à compter de la douzième vertèbre thoracique et le déplacement céphalique. De tous les spécimens de quatre segments ainsi identifiés, le niveau du corps vertébral; mi-niveau de l'espace de disque intervertébral et entre les niveaux ont été visualisées. Voir aussi Fig.  2 pour une illustration détaillée de l'emplacement des niveaux étudiés. Un total de 130 images CT (10 spécimens × 13 plans transversaux) ont été capturées au format. Bmp (768 × 765 pixels) et ensuite importé dans, et analysées par des logiciels de modélisation 2D/3D (Rhinoceros ® version 3.0, Seattle, USA) . Tout d'abord, l'axe antéro-postérieur (AP) est défini par la ligne reliant le plus ventral à la partie la plus dorsale du corps / de disque vertébral. Cette ligne a été coupée en deux AP de créer un corps vertébral noeud central (VBC). Nœuds multiples (jusqu'à 50) ont ensuite été tirés manuellement pour décrire la ALOM et une ligne reliant ont été tirées par ces nœuds (voir Fig.  3 ). Le nœud barycentre (centre géométrique; CN) de la ALOM a été calculé et dessiné automatiquement par le logiciel et une ligne a été tirée du CN à VBC afin de mesurer l'angle de cette ligne par rapport à l'axe AP, appelée antéro-barycentre angle noeud (AP-CN angle). Enfin, une ligne a été tracée sur la règle CT généré par se convertir à une dimension dans le monde réel (mm). Surface totale ALOM a été calculée par le logiciel (en mm 2 ) comme ce fut le angle AP-CN (en °, où une valeur positive a été attribué à l'ensemble des orientations pointant vers le côté droit du corps, c'est à dire dans le sens antihoraire à partir de l'axe AP , et une valeur négative attribué à des orientations pointant vers le côté gauche du corps, c'est à dire dans le sens horaire à partir de l'axe AP).
Fig.  2
Reconstruction sagittale d'une tomographie assistée par ordinateur d'une colonne vertébrale humaine cadavérique avec DISH démontrant les niveaux transversales utilisées pour des mesures quantitatives (la dénomination «crânien» ou «caudal» est relatif à la ...
Fig.  3
Trois transversales images de tomodensitométrie traitées de la même spécimen cadavérique ( à gauche au niveau de la mi-vertébral,milieu au niveau crânien adjacent, à droite au niveau de l'espace disque intervertébral) montrant la méthode graphique utilisée pour délimiter la face antérolatérale ...

La localisation des artères segmentaires vertébrales chez DISH et contrôles

Les résultats de la première expérience ont été vérifiées en utilisant la tomodensitométrie données angiographie (en utilisant le même scanner et numériser le protocole décrit ci-dessus), obtenu à partir de 20 patients examinés précédemment pour les anévrismes de l'aorte abdominale, dix d'entre eux a également eu DISH selon l'ensemble des Resnick critères (tous de sexe masculin, d'âge en moyenne 71,4 années, allant de 57 à 85 ans) alors que le plat de diagnostic a été définitivement écarté pour les dix autres patients (tous de sexe masculin, d'âge en moyenne 68,9 années, allant de 58 à 80 ans) à nouveau par deux observateurs indépendants. La vertèbre thoracique dixième, un niveau souvent impliqués dans DISH et présent dans la majorité des échantillons prélevés sur des cadavres utilisés, a été identifié sur les scans CTA et des images coronales ont été obtenus à partir des trois endroits suivants: la paroi du corps vertébral antérieur, le centre de la vertèbre corps et l'avion entre-deux (voir fig.  4 ). Sur ces images le VSA côté droit a été identifié et son emplacement crânio-caudale a été enregistré en utilisant les mêmes niveaux que pour l'expérience cadavérique: au niveau du corps mi-vertébrale; niveau de l'espace du disque intervertébral et entre les niveaux adjacents.
Fig.  4
Reconstruction coronale d'un angioscanner scan d'un patient avec DISH démontrant la méthode de localisation de l'artère vertébrale segmentaire (VSA)

Statistiques

Une analyse de mesures répétées avec deux à l'intérieur de facteurs [niveau (T vertébrale touchée n ) et mesure localisation] a été utilisé pour examiner les principaux effets de ces deux facteurs, mais aussi pour évaluer si ces effets dépendent les uns des autres (interaction entre le niveau vertébral et la localisation de mesure ). S'il y avait un effet principal significatif, une analyse post hoc avec Bonferroniajustement a été effectué. Pour la localisation de mesure, ainsi que pour les niveaux vertébraux, emplacement / niveau respectivement le plus crânien, a été comparée avec l'ensemble des autres. La signification statistique a été fixé à p  <0,05.

Résultats

Enquête sur l'étendue et la localisation de DISH

ALOM, pontage (au moins) quatre niveaux, a été trouvé à T6-T9 (en trois exemplaires); T7-T10 (quatre exemplaires) et T8-T11 (trois exemplaires). La zone d'ALOM au niveau du corps à mi-vertébrale de T6, T7, T8, T9, T10 et T11 en moyenne de 57,9 ± 50,0 mm 2 ; au disque niveau de l'espace mi-intervertébral de T6-T7, T7-T8, T8-T9, T9-T10 et T10-T11 il était en moyenne 246,4 ± 95,9 mm 2 . La zone d'ALOM moyen au niveau adjacent caudale au niveau de la mi-corps vertébral était 169,6 ± 81,3 mm 2 , la zone moyenne d'ALOM au niveau du crâne adjacente était 161,7 ± ​​78,2 mm 2 . Aucune interaction n'a été observée entre le niveau et les mesures vertébrale ( p  = 0,19) et aucun effet principal a été trouvé pour le niveau vertébral ( p  = 0,63). Cependant, il y avait un effet principal significatif de la localisation de mesure ( p  <0,001). Les résultats des différents niveaux étaient statistiquement indifférents les uns des autres ( p  > 0,6) mais les mesures au sein de ces niveaux étaient statistiquement différent ( p  <0,001).La principale conclusion était la différence significative entre la surface moyenne d'ALOM au niveau du corps mi-vertébrale et les trois autres niveaux ( p  <0,0001). Voir aussi Fig.  5 pour une représentation graphique des résultats.
Fig.  5
Graphique montrant zone de moyenne des valeurs de masse d'ossification antérolatérale et les déviations standard en millimètres carrés pour les différents niveaux
L'angle moyen AP-CN au niveau du corps vertébral milieu était de 32,5 ° ± 25,4 °, au niveau de l'espace de disque intervertébral à mi-il était de 43,7 ° ± 18,1 °. L'angle moyen AP-CN au niveau adjacent caudale au niveau de la mi-corps vertébral était de 41,3 ° ± 23,3 °, au niveau adjacent du crâne au niveau du corps à mi-vertébral, il était de 46,8 ° ± 22,9 °. Il n'y avait aucune interaction entre le niveau des mesures ( p  = 0,33) et aucun effet principal de niveau vertébral ( p  = 0,10). Une tendance a été trouvée vers un effet principal de la localisation de la mesure, mais elle n'était pas statistiquement significative ( p  = 0,06). Les résultats des différents niveaux étaient statistiquement indifférents les uns des autres ( p  > 0,1). Les différentes mesures au sein de ces niveaux étaient statistiquement indifférents les uns des autres ( p  > 0,1).

La localisation des artères segmentaires vertébrales chez DISH et contrôles

Le VSA peut être identifiée sur l'ensemble des 30 images dans le groupe de DISH ( n  = 10 cas avec trois images chacun) ainsi que sur les 30 images dans le groupe témoin. Dans tous les cas DISH, le VSA a été localisé au niveau du corps mi-vertébral ou entre le niveau de la mi-corps vertébral et le niveau caudal adjacent. Dans le groupe témoin, le VSA a été localisé au niveau du corps mi-vertébral ou entre le niveau du corps mi-vertébrale et le niveau caudal adjacent en 29 images, dans une image (situé sur le mur vertébral antérieur) il y avait au niveau caudal adjacent. Aucune différence significative n'a été observée entre le groupe de DISH et des contrôles concernant l'emplacement du VSA.
En résumé, la surface moyenne des ALOM était le plus important au niveau de l'espace disque et la plus petite au niveau du corps mi-vertébral. L'artère segmentaire vertébrale pourrait être situé dans le plan coronal à ou aux alentours, au niveau du corps mi-vertébral dans presque toutes les images (59 sur 60) des deux cas DISH et des contrôles. Une plus grande zone d'ALOM a été associée à une tendance vers une plus grande rotation anti-horaire du centre de gravité de cette masse par rapport à l'axe antéro-postérieur.

Discussion

Dans la première partie de cette étude, la superficie moyenne de la ALOM et son angle axe centroïde à AP a été quantifiée au niveau du corps mi-vertébral, niveau du disque mi-intervertébral, et entre les niveaux caudal / crânienne adjacentes. Il a été démontré qu'une différence significative dans la zone moyenne ALOM existe entre ces niveaux, affichant la plus grande zone d'ALOM au niveau du disque intervertébral et la plus petite région d'ALOM au niveau du corps mi-vertébral. Cette découverte pourrait aider à expliquer la forte prévalence précédemment publié (hyperextension)-fractures dans le corps vertébral en PLAT rapport à la grâce - disque type de fracture plus souvent vu dans AS [
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Détruisez interface utilisateur contrôle ].Bien peu est connu sur l'histologie, ultrastructure ou limite d'élasticité de la masse des tissus mous ossifié dans un plat, il semble plausible que la zone beaucoup plus importante de ALOM au disque niveau de l'espace intervertébral et des niveaux adjacents caudal / crânienne par rapport au corps mi-vertébral niveau pourrait expliquer le pont solide entre deux plateaux adjacents quittant le niveau de la mi-vertébral le maillon le plus faible. En outre, une série de antérieurement connecté (c.-à-ankylosée) segments vertébraux peuvent conduire à des bras de levier de long sur laquelle les forces traumatiques relativement mineures pourraient agir pour entraîner des fractures de type hyperextension (Fig.  1 ) [
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Détruisez interface utilisateur contrôle ].La façon disproportionnée grand nombre d'hyperextension fractures dans le plat par rapport à la compression ou flexion fractures (comprenant la majorité des fractures vertébrales) n'est pas facile à expliquer par cette hypothèse, cependant.
La position anti-horaire de la ALOM centre de gravité par rapport à l'axe AP a trouvé une association positive avec l'étendue de la zone ALOM, mais ce résultat n'a pas atteint la signification statistique. Cette constatation corrobore les suggestions précédemment émis l'hypothèse que la présence de l'aorte pulsation empêche la formation de DISH [
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Détruisez le contrôle de l'interface utilisateur ]. La localisation du côté droit de la ALOM est très évocatrice d'une aorte «barrière naturelle», comme le fait qu'ALOM «croissance» peut, apparemment, ne se déroulera plus lointain (ie dans le sens antihoraire) de cette structure vasculaire. En effet, des études antérieures chez les personnes atteintes situs inversus totalis et DISH, a constaté la formation d'ALOM à la position de gauche (sens horaire) du corps vertébral [
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Détruisez le contrôle de l'interface utilisateur ]. S'appuyer sur l'hypothèse que seules des quantités limitées de nouvelle forme d'os dans le voisinage d'une structure vasculaire palpitante, les résultats de l'expérience cadavérique, montrant beaucoup moins de formation d'os nouveau au niveau du corps mi-vertébral, nécessaires vérification par l'identification d'une telle structure à cet endroit. L'étude clinique a montré CTA l'emplacement de l'artère vertébrale segmentaire, en effet, d'être située à (ou aux alentours) au niveau du corps mi-vertébral dans les deux cas DISH et les contrôles [
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Détruisez interface utilisateur contrôle ]. Cette constatation suggère fortement le VSA pour être une barrière naturelle fixe pour le processus d'ossification expansive peut dicter l'apparence typique "bougie de cire qui coule» de DISH.On peut faire valoir que les données du CTA de patients sous surveillance pour les anévrismes de l'aorte abdominale peut ne pas représenter la substance idéale pour cette étude, car une maladie vasculaire préexistante pourrait avoir des effets psychotropes directs sur l'emplacement, l'orientation, et le diamètre du branchement artères segmentaires vertébrales. Toutefois, à notre connaissance, aucune association entre les anévrismes abdominaux et aberrantes artères segmentaires vertébrales n'a encore été signalé et cette limitation potentiel de l'étude a donc pas été jugée manifestement pertinente.
En conclusion, dans un plat, la zone de masse antérolatérale ossifié et angle centre de gravité de la masse antérolatérale ossifié varier considérablement à la mi-vertébrale; intervertébral et entre les niveaux adjacents. Les résultats de la présente étude suggèrent une prédisposition aux fractures dans le corps vertébral et un rôle pour le système artériel dans l'inhibition de l'ossification des tissus mous dans un plat.

Conflit d'intérêts

Aucun financement n'a été reçu dans la préparation de ce travail et pas de conflits d'intérêt sont déclarés.
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